Jamais les anciens Nordiques ne cesseront d’être reconnus dans les rues de Québec, ni d’être apostrophés par les supporteurs pour ressasser de vieux souvenirs. « Du moins jusqu’à ce que le dernier d’entre nous meure ! » décoche Dave Pichette, un Fleurdelisé pendant quatre années. Décidément, ils seront Nordiques jusqu’au bout... ...suite
Source: Le Soleil
Source: Le Soleil
Par: Guillaume Dumas
Le 8 septembre 2007
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